Salle #1

William était rapidement parvenu à l’hôpital en ambulance. Malgré la rapidité du transport, celui-ci laissait à désirer lorsque le patient était toujours contient. Couché sur un lit pas des plus luxueux, l’ambulance pouvait bien avancer à 100km/h peut être même 200, c’était pas Will qui le savait. Les yeux entrouverts, encouragé par les médecins pour les garder ainsi, le jeune musicien n’y voyait qu’un plafond embrouiller et quelques visages qui ne lui était pas familiers autour de lui. Il ne savait pas ou il allait, la vitesse à laquelle ils avançaient, si il allait survivre. Et si il n’allait pas survivre, si il allait mourir. Allait-on se souvenir de lui? Allait-on regretter sa mort? Ques que les gens exactement penseraient de lui? Leurs dernière images de son infâme vie aura t-elle été lui en train de tabasser Thomas? Non. William ne voulait pas mourir ainsi, pas avec cette image de tabassage gravé dans la mémoire de tous. La plus parts des gens ne connaissaient guerre le motif de ses geste. Non, il ne pouvais tout simplement pas mourir sur un geste regrettable et tout à fait stupide pour le quel chaque un trouvera sa raison de dire que Willy avait eu raison de mourir là-dessus.

Ses yeux se refermèrent lentement juste quand ils passèrent la porte des urgences, ce qui lui paru être des heures n’étaient en fait que quelques minutes à peine. Le visage livide et la peau froide et glacé comme la mort, William repensa à tout ce qu’il avait fait de mal, et qu’il n’aurait pas du faire. À tout les évènements tristes de son existence. Au départ de Lyly quand elle l’avait laissé. À chaque unes de ses tournées où le visage éblouissant de Aillya lui manquais tant. Et sur cette note, il perdis complètement tout ses sens et sombra dans une profonde inconscience. Pourtant, il entendait toujours faiblement le son des médecins réunis autour de lui, il pouvait toujours pensée… Seulement, il ne pouvait plus bougé, plus parlé. Puis ce fut un vide total. Plus rien… Plus que l’infâme bruit d’un silence de mort qui régnait autour de lui, un silence inhabituelle et relaxant. Une étrange sensation de bien être parcourue son corps en entiers. Sa respiration se fit alors plus rare, mais toujours constante. Son cœur battait toujours, mais son cerveau ne fonctionnait plus du tout de la même façon. Dans les hôpital, il faisait généralement clair, tandis que là, William n’y voyait plus rien. C’était noir partout, c’était un vide effrayant, inhabituelle, mais clame et libérant… C’était en fait un étrange sentiment de liberté mélangé au regret que dans son vivant, il exploitait toujours.

Pendant que les médecins le transportaient d'urgence dans une salle spéciale où toutes ses blessures furent refermées, William était toujours envahis de ce vide total que certains appelait ne semi mort. Une mort irréelle, l'inconscience. L'aiguille qui s'enfonçait dans sa peau pour en ressortir de l'autre côté, sa et là aurait très bien pu le faire hurler si il avait été conscient qu'on lui recoudrait une mince plaie qui pourtant lui faisait perdre une très grande partie de sons sang. Une trop grande partie... D'ailleurs, c'était mentir dire que les médecins pensait que William allait s'en sortir indemne. Car les coups que Brian avait ajoutés à ceux de Thomas avait facilement achevé le jeune homme.

Le lendemain, il se réveilla difficilement, ouvrant les yeux avec amertume. Les évènements de la veille, ils ne les avaient pas oubliés. Et il n’était pas près de les oublier. Tous ses muscles étaient entièrement raqués, et ne lui obéissait pas encore totalement. Son bras gauches était pitoyablement replier contre sa poitrine, déposer dans un bandage blanc et enrouler dans un plâtre de la même couleur. William s’assoya avec difficulté sur son lit, appuyant son dos contre le support arrière de celui-ci. Il ferma douloureusement les yeux. Sa tête lui tournait énormément et il avait légèrement mal au cœur. Ou peut-être étais-ce simplement le poids de son bras qui lui pesait lourd dessus. Il n’en savait rien, et préférais d’ailleurs ne pas savoir. C’était mieux ainsi vu du point de vue de Will’.

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