Kees Sorenson

« Chère Marielle,
Je t’écris ses quelques mots, pour toi qui es à Orlando en Floride pour te dire que ma femme, Olivia, vient d’accoucher de notre premier enfant le 25 août dernier. Il s’agit d’un petit garçon que nous allons appeler Alexander-Kees. Je serais heureux si tu viendrais le voir à la fête du travail. Bon, je sais que tu n’apprécies pas beaucoup l’accent britannique de ma femme, mais j’apprécierai si tu pouvais laisser tomber le fait qu’elle vienne d’Angleterre pour une fois et venir voir ton premier petit-fils. »
Extrait de la lettre de James Sorenson à Marielle Sorenson.

« Cher James,
J’espère que ton voyage d’affaire se passe bien. À la maison tout va assez bien avec Alex qui vient de fêter ses 4 ans avec ses petits copains et la petite voisine Holly. Anna, elle, commence à faire tranquillement ses premiers pas. Elle est plus rapide que son frère : à peine un an et demi ! J’ai hâte que tu reviennes de ton séjour à Winnipeg. »
« Olivia,
Pardon de ne pas avoir eut le temps de t’avertir plus tôt mais mon travail me prend beaucoup de mon temps et je n’ai même pas eut le temps d’aller voir pour mon courrier. J’espère que tu t’assure qu’Alexander joue assez souvent aux échecs et qu’il regarde ses livres pour petits mathématiciens. Je n’ai pas envie que tout les progrès qu’il a faits en quatre ans soit inutile. S’il ne veut pas, force-le sinon confisque lui sa planche à roulette, son ballon de football… Ne le laisse pas faire autre chose que ça. Il doit avoir de bons résultats s’il veut aller dans une bonne école plus tard. »
Correspondance de deux lettres de James et Olivia Sorenson.

« Chère Fallon,
Je te souhaite un joyeux anniversaire et j’espère que tu te plais là ou tu es. J’aimerais être présent pour ta fête, mais mes parents trouvent que se seraient une perte de temps descendre pour remonter à Vancouver la même journée. J’ai envie de t’ennuyer en te disant que j’ai récupéré mes planches à roulettes que mon père m’avait enlevées parce que je n’avais pas envie de faire des mathématiques… C’est une perte de temps immense selon moi. J’ai préféré aller prendre l’appareil-photo de ma mère et de prendre un tas de clichés avec ma voisine Holly Wood. Je sais, drôle de nom hein ? Ce n’est pas pour rien qu’elle est mon Étoile ou ma Diva. Je l’aime beaucoup et je suis certain que tu l’aimerais tout autant que moi si on aurait la possibilité de se voir plus souvent. J’en viens pas, j’ai que neuf ans et le trois quart du temps, je le passe à faire des mathématiques ennuyeuses à et lire des textes ennuyeux sur des trucs que je ne comprends pas. J’ai hâte que mon papa se rende compte que je me fous de ses science et que j’aimerais bien aller voir du pays. Donc, voilà déjà la fin de ma partie de la lettre, Anna-Mari va prendre le reste. Je t’adore cousine, Alex-Kees. Xox. »
Extrait de la lettre de Alexander-Kees Sorenson à Fallon Grey.

« Anna… WE’RE IN HOLLYWOOD! Oh Yeah ! Papa ne gueule pas trop ? Qu’il ne s’inquiète pas, sa voiture va très bien, même pas un accrochage. On a conduit pendant toute une nuit pour se rendre… Et on y est ! L.A. ! On va rester ici encore deux semaines et on devrait revenir à la mi-juillet. Demain, on va grimper sur le Mont Lee voir le panneau « Hollywood. » Il est hors de question qu’Holly et moi on parte d’ici avant d’avoir marché et skaté le long du Walk of fame et de passer au Mont Lee, prendre des belles photos en souvenir. On t’aime, Alex-Kees & Holly Xox. »
Carte postale envoyée par Alexander-Kees Sorenson et Holly Wood à Anna-Mari Sorenson.

« Mon amie vient de se faire frapper pas un type qui est sorti saoul au coin d’Hollywood boulevard… Elle est hémophile… »
Appel effectué par Alexander-Kees au 911 de L.A. 14 juillet.

« OLIVIA ! VAS CHERCHER TON PUTAIN DE GARÇON TROP IMBÉCILE POUR PENSER CORRECTEMENT ! IL S’EST SAUVÉ AVEC SA TARÉE DE COPINE À LOS ANGELES. ILS SONT À L’HÔPITAL, VAS-Y VITE ET RAMÈNE-LE MOI QUE JE LUI MONTRE SE QUE JE PENSE DE LUI ! »
Appel effectué par James Sorenson à Olivia Sorenson, Vancouver. 15 juillet, 3heures a.m.

« Dude… J’ai tellement merdé ! (Une goute de sang cache les premiers mots) me tuer. Je le sais… Tu ne sais pas à quel point j’ai merdé. Holly et moi on marchait une dernière fois sur le Walk of fame et un type est sorti et a voulu prendre Holly pour lui, mais je me suis interposé et sans faire exprès, il a frappé Holly au visage et moi j’ai eut un coup de tête sur la mienne. Mec, tu sais qu’elle est hémophile… Ils ont dût lui faire une transfusion merdique mais sa changera rien : Elle a attrapé le sida… Dude, j’ai tellement envie de me tuer, t’as pas id (le restant fut manger par le chien de Frank) »
Extrait de la lettre d’Alexander-Kees Sorenson à Frank Gallager, 16 novembre.

« Voilà ce que j’attendais de mon fils ! Meilleur de sa classe, meilleur de l’école. Malgré la petite dispute entre sa mère et moi se qui termina en un divorce pas si tragique, j’eus la garde de mes beaux enfants, et elle, elle pourrie dans un de ses pubs miteux, tant adoré… »
Extrait de la lettre de James Sorenson à Marielle Sorenson.

« On avait beaucoup fêté vendredi. Je me souviens vaguement. Holly avait reçut sa lettre de Simon-Fraser et qu’elle avait été accepté en Droit. Je me souviens qu’elle m’avait tendu une énorme bouteille de Vodka et qu’on a bu toute la soirée. Je ne me souviens pas de grand-chose, mais je sais que j’avais trouvé bizarre qu’elle me fasse boire autant. En fait, j’avais trouvé bizarre qu’elle boit : elle était contre l’alcool depuis que son père était mort d’un empoissonnement à l’alcool. Je sais que, seulement le lendemain matin, je me suis réveillé et qu’elle n’était plus là. Sa mère était partie en voyage d’affaires à Calgary pour encore deux mois et elle nous avait laissé la maison pour que nous nous en occupions. J’avais un de ses maux de tête quand je me suis réveillé. Comme à son habitude, Holly s’était réveillée avant moi et donc de me retrouver tout seul dans sa chambre ne m’a pas parut étrange. Donc je suis descendu au rez-de-chaussée à la cuisine et … J’ai vu le blackberry d’Holly qui trainait sur le comptoir de la cuisine. Je l’ai prit et j’ai pu voir que j’avais dormit jusqu’à dimanche matin. Je comprends, j’avais tellement étudié comme un con pendant une semaine que le sommeil m’a rattrapé. Et s’est là que j’ai entendu un « poc » qui se répétait à un rythme précis. J’appelai Holly, et j’allai même fouiller dans son sac à main, voir si elle avait prit les clefs de la voiture… Mais non tout était là… Le « poc » continuait à se faire entendre mais un peu plus lentement cette fois-là. J’ai… J’ai comme eut un pincement au cœur : je savais que quelque chose n’allait pas. Je suis sorti à l’extérieur, et j’ai vu l’arbre sur lequel on grimpait pour se rendre sur le toit de sa maison. J’ai vu deux pieds nus - le pied droit portait un tatouage d’une étoile noire - qui se balançaient sur le côté pour aller se cogner contre le mur de la maison.

Entre la vue des pieds et le moment ou je fus assit dans l’ambulance avec la sensation d’une aiguille qui entrait dans mon bras droit, je ne me souviens de rien. Je me souviens aucunement d’avoir appelé les urgences, je ne me souviens aucunement d’avoir vu le visage d’Holly même si à cause du tatouage, j’ai pu savoir que c’était elle. Je savais qu’elle n’allait pas se faire tuer par la maladie, je savais qu’elle n’allait pas attendre d’être incapable de rien faire. Jusque je n’aurais pas pensé qu’elle l’aurait fait après son acceptation. Je sais qu’à l’hôpital, je demandais aux infirmières si je pourrais aller voir ma Diva Étoile… Mais personne ne m’y autorisait : ce n’aurait pas été bien pour moi. Maintenant je comprends pourquoi : quelqu’un qui se pend ce n’est pas beau à voir. Je comprends pourquoi ma tête m’a empêchée de la voir. Et je me demande pourquoi j’ai voulu la voir à l’hôpital… La thérapie m’a beaucoup aidé à surmonter ça, mais je dois avouer que je ne comprends pas pourquoi elle ne m’en avait pas parlé avant. Je déteste savoir que nos derniers moments j’étais carrément saoul à oublier et à dormir presque quarante-huit heures d’affilées. Je m’en veux de ne rien avoir vu venir. J’aurais dût pourtant : Holly ne buvait jamais, même pas pour fêter. »
Extrait de la lettre écrite par Alexander-Kees tirée du document personnel d’Alexander-Kees Sorenson. Bureau du psychologue Shaun Macguire.

« Imbécile d’enfant ! Il trouve sa voisine pendue et il décide de nous faire une crise et il m’oblige à dépenser une FORTURNE en session avec un psychologue qui tente de me faire avouer que je renie les envies et goûts de mon fils ! Qu’il se fasse mettre ses conseils ou je pense, ce n’est pas un inconnu qui va me montrer comment élever mon crétin de fils ! Olivia, je t’ordonne de revenir à la maison, t’occuper de cet imbécile! »

« Il est hors de question que je revienne, il est hors de question que je revois les enfants maintenant. Je retourne en Angleterre, y attendre la fin de mes jours. »
Courte correspondance avant l’accident mortelle sur la route qui coûta la vie d’Olivia ~~Sorenson~~ Grey.

« Holly, tu te souviens avec qui d’autre que toi et moi, Kees trainait ? Il n’a jamais été bien avec un paquet de gens hein ? Sa doit être pour sa qu’il préfère passer du temps à pratiqué des sports en solitaire plutôt que de sortir dans les boîtes avec nous… Enfin, avec moi. En tout cas, je te jure qu’avec ses parents, il est sur le point de péter un câble. Bon, je sais que tu n’es plus là pour lui et moi, mais sa me fait toujours du bien de t’écrire quand même. J’aimerais que tu aides Kees avec son père : ils ne veulent pas qu’il devienne enseignant. T’imagine ? Heureusement qu’Anna-Mari est là pour l’aider à se calmer chaque fois que ses parents lui disaient de changer d’orientation de carrière et qu’il n’était jamais à la hauteur. Au moins, je sais que je peux compter sur Kees si je me plante. Ah, j’avais oublié sa cousine : elle sa devrait être une des seules autres personnes avec qu’il passe du temps. Cette petite Fallon Grey, presque comme si elle était sa deuxième sœur. Je m’ennuis de toi… Il s’ennui énormément de toi. »
Extrait de la lettre de Frank Gallager posée sur la tombe d’Holly Wood.

« Holly, tu ne sais pas se que je donnerais pour être avec toi en se moment… Ma mère s’est fait frapper en sortant de l’autoroute par un chauffard. Des fois, je pense que se pourrait être la même personne qui t’as conduit ou tu es en se moment… Je suis fort... Je te l’ai toujours dit. Et ce n’est pas pour rien que je continu à l’université. J’arrive à avoir des meilleures notes que les autres, comme toujours. Frank et Ju sortent ensemble... C’est chou de les voir aller, mais je me sens plus seul maintenant... J’ai plus le même meilleur ami qu’avant… Mais je les aime énormément. Je t’aime énormément. Repose en paix mon Étoile. »
Lettre posée sur la tombe d’Holly Wood à la deuxième année d’université d’Alexander-Kees Sorenson.

« Hey ^^ Trop débile. C’est la GRADUATION ! Frank, Ju’, Angie et moi on va devenir bacheliers ! Papa est toujours fâché hein ? C’est parfait parce qu’il va être heureux de savoir que je vais lui faire à croire que je vais continuer dans ma maîtrise et me rendre même au Doctorat. Mon Dieu, je creverais sur-le-champ si je restais encore sur les bancs d’école aussi longtemps ! Et tu sais quoi ? Ju’ est enceinte de Frank ! Tu devrais les voir, c’est mourant. En tout cas, je voulais simplement te dire que je revenais à la maison que pour deux semaines et que je partirais faire un petit Roadtrip en solitaire. Je ne sais pas combien de temps je vais être ici et nulle part, mais t’inquiète, je vais t’envoyer des photos et des lettres tout le temps : P Donc c’est sa, je t’adore soeurette et à dans deux semaines ! Ton imbécile de frère qui t’adore, Kees. Xox. »
Caste postale envoyé à Anna-Mari Sorenson par Alexander-Kees Sorenson.

« Chère Marielle,
Eh oui, ton petit fils à malheureusement reçut son baccalauréat en éducation de la langue anglaise : J’en ai honte. Lui qui aurait pu devenir un mathématicien de renom, il choisit d’apprendre à des jeunes adolescents inutiles à bien écrit le mot : antidisestablishmentarianism. Quel perte de temps, enfin, il dit vouloir continuer jusqu’à la maîtrise mais il peut être certain que je ne vais pas dépenser le moindre sous pour cette seconde perte de temps, pas plus que la première fois. »
Extrait de la lettre de James Sorenson envoyée à Marielle Sorenson.

« HEY s’est moi ! Je suis à Fairbanks, Alaska. Je vais faire un peu de recherche dans le coin : voir les plus belles montagnes qui mérite que je les grimpe et après je devrais descendre dans le sud des États-Unis sûrement dans le Utah continué ma recherche de montagnes à visité. Ne dis pas tout de suite à papa que j’ai piqué sa carte de crédit pour payé quelques petits trucs indispensables pour pas crever dans le froid de Fairbanks. Surtout, caches la carte postale, je n’ai pas envie qu’il me ramène de force à la maison ! Je t’adore sœurette, Kees. Xox
PS. Je suis certain que tu veux savoir combien j’ai dépensé : 6 000$ »
Carte postale envoyée de Fairbanks, Alaska par Alexander-Kees Sorenson à Anna-Mari Sorenson.

« ON SE LES GÈLE ! Frank ! Merde j’aurais jamais crut que des gens pourrait vivre dans des trous pareils à cette température là ! Je suis dans un train ou j’ai embarqué clandestinement pour débarquer au nord de la Colombie-Britannique. Je suis caché en arrière d’une pile de boîtes enroulé dans mes trois couvertures et de t’écris ma petite lettre avec mes mitaines donc désolé si s’est illisible. Sérieusement, à part le froid… J’ai adoré l’Alaska. J’ai réussit à trouver la montagne la plus haute là-bas : le Mont McKinley. J’étais tellement heureux et nerveux que j’ai prit 48 heures accrochés au Mont avant de finalement atteindre le haut ! J’ai prit mon temps parce que je n’avais jamais grimpé sur de la glace avant. En tout cas, pour la première expérience de l’année : J’ai ADORÉ. En plus, quand j’étais en haut j’y suis resté même pas deux heures tellement que je mourrais de froid. J’ai prit des photos, sois certain. J’ai hâte de passer par chez toi et de te les montrer ! Perds pas espoir, je suis fou mais pas au point de me tuer ! Kees.
Lettre envoyé à Frank Gallager par Alexander-Kees Sorenson.

Juliette Desrosiers POWER!
(Désoléeeeeeeee , je suis pas acceptée =__=)
Bienvenue Cousin xD

Bienvenuee

Salut amuses-toi bien!!!! Razz

Ptdr
Juliette Desrosiers!
Biienvenue (Je te reconnais surtout pas Rolling Eyes

) et bonne chance pour la suite! ^^
T'avertiras lorsque ce sera terminéé!

Bienvenidos =)

Welc'euuuh!^^
Have a fun!=)

« Toujours en vie ! Désolé de ne pas avoir écrit pendant un an ! Mais je me disais que comme cadeau de fête à moi, je devais vous offrir de mes nouvelles. Je m’excuse encore… Mais j’ai trop tripé. Je vous jure, j’ai passé encore toute mon année sur les routes, sauf que j’ai un peu travaillé ici et là dans les Plaines Intérieures dans des fermes qui voulait bien de moi. Bon, je ne suis pas vraiment arrivé dans le temps des récoltes, mais dans le temps des plantations et je peux te dire que j’en ai planté des patates ! En tout cas, comme cadeau de fête à moi pour moi, demain je retourne faire du pouce pour aller à Chief Mountain. Bah ouais, direction Montana. J’avais pensé après le Chief descendre au Wyoming pour aller faire un tour au Pic Gannett. Je devrais avoir escaladé deux belles montagnes en deux mois. Bon, j’en ai escaladé d’autres mais ce n’était rien comparé à celle que je te parle ! Non, les autres c’est que des préparatifs mineurs, même pas une touche de défi ! Ne vous inquiétez pas : même si je les trouve nuls, et pas amusante du tout, je fais attention. Y’aurait qu’une montagne qui aurait le droit de me tuer et ce serait l’Everest. Mais même là, je serais préparé pour ne pas me faire avoir. Mais Frank, on va devoir retourner s’entraîner en Alaska ou dans le nord du Canada. Grimper sur de la glace c’est vraiment pas comme sur de la roche. Surtout qu’au Mont McKinley j’ai glissé environ sept fois ! Meilleur poussé d’adrénaline que je n’ai jamais eut de ma vie ! Vous inquiétez pas, je suis assez merdeux pour ne pas me tuer. Votre Wanna-be Hippy, Kees. »
Lettre envoyée à Frank Gallager et Juliette Desrosiers par Alexander-Kees Sorenson.

« Bordel, Ju ! Tu devrais voir Kees ! Je l’ai vu il n’y a pas si longtemps que ça alors que j’allais faire l’épicerie. Il a TELLEMENT changé ! Tu te souviens qu’il se rasait toujours de près et qu’il était presque hors de question d’avoir un tout petit poil de rien au visage ? Et bien maintenant, j’ai l’impression qu’il vient de passé un très long moment à se promener parce qu’il t’a une de ses barbes ! Je te jure, il est vraiment méconnaissable. Je ne sais pas si s’est à cause de sa barbe et de ses cheveux bruns claires qui tiennent tout seul au dessus de sa tête ou ses vêtements qui sont tout aussi différant qu’avant… Mais je te le jure : on le dirait sorti tout droit d’un ghetto de Chicago. Ses jeans ne sont pas en meilleur état que son visage : ils sont rapiécer de partout : sur les fesses, les genoux, les tibias… PARTOUT. Son t-shirt n’était pas en meilleur état, sauf que lui, les trous paraissaient sur son épaule et quelques uns plus gros à la hauteur de ses côtes. En parlant de sa, je ne sais pas si tu te souviens, mais Kees avait toujours été en forme pas vrai ? Est-ce que tu te souviens si ses côtes paraissaient beaucoup à l’Université ? Parce que je te le jure : les trous étaient assez gros pour que je puisse facilement voir qu’il semblait être sous-alimenté. Au moins, notre petit homme – qui n’a toujours pas grandit de son cinq pieds sept pouces comme il disait souvent - à quand même ses muscles parce qu’il semblait transporter un sac à dos qui devait peser au moins trente kilos à lui tout seul avec un plus petit sac qu’il tenait dans sa main qui devait faire de douze à treize kilos facile. Bon, je dois t’avouer que je ne me lacerais jamais de son teint bronzé comme il avait. Le teint parfait ! On aurait dit qu’il venait de passer une bonne semaine au Mexique ou à un autre endroit qui fait chaud. En tout cas, quand il m’a vu, j’ai presque fondu. Tu te souviens de ses yeux ? Ses beaux yeux verts qui te transpercent comme s’il pouvait lire dans tes pensées ? Ou encore son sourire – quoi qu’un peu caché par la barbe couvrant ses joues qui semblaient dans le même état que ses côtes : trop maigre – si franc. En tout cas, je te le dis, notre petit rafteur à l’air encore plus en forme que jamais et assez en forme pour faire du pouce jusqu’au Mexique, y retourner grimper des montagnes ! »
Extrait du courriel d’Angie Marshall envoyée à Juliette Desrosiers.

« Salut vous ! Comme ça, on se marie sans moi ? C’est quoi cette idée débile Frank ? Une chance que j’ai croisé Angie sinon je ne l’Aurais jamais sut ! En plus, pourquoi vous avez déménagé au Manitoba ? Vous ne voulez pas me voir, c’est ça ? Mais non, je déconne. Sérieusement, je suis vraiment désolé d’avoir manqué votre mariage… Ju, tu sais choisir un bon gars qui va rester avec toi pendant longtemps comme il a fait pour moi. Trois ans après la sortie de l’université que vous vous mariez et que vous attendez déjà votre deuxième gosse… Ah ! Vive vous, je vous en souhaite encore plein d’autre. J’aurais tellement aimé être avec vous, mais j’étais sur la route avec des hippies que j’ai croisés par hasard et qui me laisse squatter leur tente-roulotte pour la route. Sa doit déjà faire un bon moi que je suis avec eux, et ça va un peu trop vite pour moi. Ce n’est pas comme si J’étais encore à pied et ou sa pouvait prendre deux à trois jours avant que quelqu’un me ramasse. Donc en se moment je suis au Colorado… En quelque part que j’ignore. Précis hein ? Je ne peux pas en dire plus, parce que l’autre jour, j’ai reçut une lettre d’Anna et elle me disait que James en avait trouvé une et qu’il était descendu au Nevada pour me trouver et me ramener de force à Vancouver… Donc, on se contente de Colorado okay ? : D Ouais donc, Je ne sais pas encore quand je vais revenir, je me plais à me promener ici et là sans devoir me rendre à un endroit pour tel heure… Je peux même me lever à six heures le soir et je suis en plein dans mon itinéraire. Bon je suis en train de manquer de papier et donc, quand je vais revenir, je vais vous donner voter cadeau de mariage que j’ai trouvé à Dallas y’a quatre jours, quand j’ai croisé Angie. Donc, longue vie à vous deux, je vous aime très très fort, Kees. Xox PS. Si quand vous allez avoir votre deuxième gamin, je reviens à la civilisation et je veux être parrain !
Lettre envoyée du Colorado de Alexander-Kees Sorenson à Frank Gallager et Juliette Desrosiers, Manitoba.

« Bon sang, j’aurais jamais crut qu’un type pourrait puer autant ! Salut belle Angie, je voulais simplement te dire que l’accouchement avait extrêmement bien été. Et comme je te l’avais déjà dis avant, Kees nous avait promit que quand j’allais mettre au monde le petit, il était pour revenir. Eh bien, il est arrivé une semaine avant l’accouchement. Je ne l’aurais pas reconnut si tu ne m’avais pas dit à quel point il avait changé ! J’ai presque eux envie de fondre en larmes quand il m’a sourit : il était si maigre… Et bordel qu’il puait ! Je peux comprendre qu’il avait passé deux semaines à marcher dans les Prairies pour se rendre ici, mais de la à ne pas avoir prit de douche… Je me demande comment il a fait ! Comme à son habitude, il a sauté les banalités pour me demander s’il pouvait emprunter ma douche... Je n’avais même pas osé le serrer dans mes bras… Mais après sa douche, son rasage et son lavage de vêtements, c’était le même bon vieux Kees légèrement fêlé qui sort de nulle part. Ahh… Il en avait des choses à raconter. Je pense qu’on a parlé toute l’après-midi jusqu’au soir ou Frank est revenu de la garderie avec Holly. Tu ne lui avais pas dit le nom de ma fille à Kees ? Parce que quand il l’a sut, j’ai put voir ses yeux se remplir de larmes un court moment. Tout aussi sensible pour son étoile hein ? En tout cas, sa fait déjà une semaine que Kees est parrain de Dominic qu’il vient de partir se matin, avec son gros sac à dos et ses vêtements troués. J’ai hâte qu’il puisse rester plus longtemps à un endroit pour qu’on puisse le rejoindre plus facilement que de recevoir de temps en temps des lettres de lui sans savoir d’où ça vient ! »
Extrait du courriel de Juliette Desrosiers envoyé à Angie Marshall.

« Qu’est-ce que j’avais dans la tête ? Je me gèle le cul dans le fin fond d’une putain de forêt et je ne sais même plus par ou sortir ! Bah ouais, bonne idée de vouloir faire une surprise à Anna et de me perdre dans une forêt de merde ! Bordel, ça fait déjà deux semaines que je suis prit ici et que je n’avance pas. Je les emmerdes les putains de forêts canadiennes ! C’est quoi l’idée aussi de d’accoucher en plein hiver ? Ça fait quatre jours que j’ai rien mangé parce que je n’ai plus rien, et à … Sûrement comme à -25 degré y’a même pas de feuilles ou de petites plantes que je pourrais manger. JE VAIS PÉTER MA COCHE ! Pourquoi je n’ai pas fait du pouce ? Pourquoi je me suis dis : Ahhh quoi de mieux qu’une marche de santé ? » MARCHE DE SANTÉ MON CUL. Au moins, j’ai réussit à monter ma tente… MAIS PAS UN PUTAINS DE MORCEAU DE BOIS POUR UN FEU ! J’ai que mon sac de couchage et mes trois couvertures... Mais j’ai quand même froid… Comment je vais me sortir d’ici merde ?! Seigneur… »
Extrait du journal personnel d’Alexander-Kees Sorenson.

« Ju ? Tu ne m’avais pas dit que Kees avait autant maigri… Sérieusement, s’en est alarmant ! Il ma dit qu’il était parti de chez toi à pied et en faisant de l’auto-stop, depuis qu’une semaine. J’en doute parce que tu m’avais appelé il y avait trop semaines pour me dire que mon frère était chez toi. En tout cas, il à sembler passer un mauvais quart d’heure et il ne veut même pas me dire pourquoi… T’aurais une idée ? »
Extrait du courriel d’Anna-Mari Sorenson envoyé à Juliette Desrosiers.

« M-E-R-D-E ! J’ai plus d’argent… J’AI FAIM ! Pourquoi j’ai refusé l’argent d’Anna ? … Je n’ai même pas besoin d’y penser trop longtemps. Arg… C’est tellement à cause de moi si je suis assit dans les rues de Bellingham à mendier. Au moins, je suis assez différent pour qu’on aille de la difficulté à me reconnaître… Vive la barbe et l’allure ultra-crasseux. De toute façon, tous mes amis ne vivent plus dans le coin : je suis sauvé de l’humiliation de ma situation. et c'est la PIRE journée de ma vie : James m’a trouver… Il n’était pas supposer rester à Vancouver se faire tuer par le temps ? J’en viens pas, après trois années parti, il me prend encore pour SA chose. "ALEXANDER-KEES GREY ?! QU’EST-CE QUE TU FOU ICI ?!" {ce dois être un des moments ou j’aurais apprécier me sauver.} "ESPÈCE D’IMBÉCILE ! TU FOUS TON AVENIR EN L’AIR ! C’EST-CE QUE TU VEUX ME FAIRE COMPRENDRE ? QUE TU VEUX ÊTRE COMME TA DÉBILE DE MÈRE ?" {si j’en aurais eut le courage, je l’aurais frapper.} "COMMENT OSES-TU REVENIR ICI APRÈS CE QUE TU M’AS FAIT ? APRÈS M’AVOIR CRACHER AU VISAGE ET D’AVOIR MIT À LA POUBELLE TOUT CE QUE JE T’AI APPRIT DEPUIS QUE TU ES NÉ ? SAL FILS INGRAT !" Je n’avais rien trouver de mieux que le regarder dans les yeux, d’avoir l’air le plus fier possible malgré le fait que j’étais extrêmement faible parce que je n’avais rien manger depuis un bout de temps et de lui dire, sur un ton le plus calme possible : "T’as pas changé, t’es toujours qu’un sal con. T’es triste parce que moi j’aurais pu aller ou tu t’es planté ? Parce que moi j’aurais put aller à Harvard et pas toi ? T’es qu’un trou du cul. C’est de ta faute si ma mère est morte." Je me pensais peut-être fort, mais le coup de poing qu’il m’envoya au visage me fit basculer et tomber dans les pommes pour deux heures… Je crois. Quand je me suis réveillé, les gens me contournaient comme si je n’existais pas. J’emmerde la société. J’emmerde mon père, j’emmerde tous ceux qui m’ont laissé tomber cette journée-là. Plus question de rester dans le même pays que lui. »
Extrait du journal personnel d’Alexander-Kees Sorenson.

« Dire qu’on avait eut l’envie de grimper le Kilimandjaro ensemble… FRANK, T’ES UNE GROSSE PATATE ! La bedaine de bière te pousse pas mal ! »
« Espèce d’innocent, j’ai une famille à m’occuper, je ne passe pas mon temps à me balader avec des Hippies parce qu’ils me ramassent sur le bord d’une route. »
« Tu devrais venir, sa te ferais du bien, comme sa en fait à moi. »
« Kees, si t’arrête un peu de faire l’enfant, et que tu deviennes un adulte, tu verras que grimper le Kilimandjaro … Sa ne se fera pas dans ton état. Tu t’es vue ? T’es plus maigre que Ju et Angie ! Et qu’est-ce qui arrive à mes enfants si t’es je ne sais ou et que quelque chose de grave m’arrive et que Dominic et Holly doivent vivre avec toi ? »
« … »
« Dude, j’ai pas renoncé à y aller. Mais j’ai deux enfants, une femme, un emploi et des factures à payés… Je te le promets que quand ma maison est finit de payer, on part ensemble. »
« Quand ta maison va être finit de payer ? Moi je vais avoir faite ma vie aussi. Je veux juste profiter du peu de temps qui me reste avant mes trente ans, c’est tout. »
« Ouais, je dois avouer… Mais ton poids lui ? »
« J’ai manqué de bouffe quelques fois dans mes voyages. (Déconnexion) »
Extrait du clavardage entre Frank Gallager et Alexander-Kees Sorenson.

« Devienne qui vient d’avoir 25 ans ? C’est sûrement la pire devinette au monde… En tout cas, juste pour te dire que je ne reviendrais pas à Vancouver. De toute façon, James me tuerait au moment même ou je traverserais la frontière canado-américaine. Ouais, j’ai décidé d’arrêter de voyager un peu partout pour me refaire un peu d’argent avant de partir pour le Kilimandjaro. Si je veux vraiment que ça en vaille la peine, je vais devoir rester un peu de temps en Californie, me trouver un bon emploi et économiser quelques dollars. Donc je te sers très fort tite sœur. Kees. Xox »
Carte postale envoyée à Anna-Mari Sorenson par Alexander-Kees Sorenson.

« Y’all miss may ? Hiii ! Ouais, petit délire ma belle Angie ! Ça doit être le fait que je me suis réveillé avec un cadran pour la première fois de ma vie après quatre ans. Bah ouais, petite texane : J’ai mit pied à terre. Ouais ouais ouais, j’ai élu la Californie comme nouvelle maison. Heureusement que j’ai mon Visa pour travailler ici ! Tu sais que j’adore que ton frère travailles au gouvernement ? En tout cas, je suis à Malibu Beach… Eh oui, à chaque jour je me lève pour aller travailler… Je ne sais pas comment vous réussissez à faire ça ! L’université s’est déjà très loin pour moi, et de toute façon, tout mes cours étaient dans l’après-midi. Je sais, j’ai été merdeux. Ouais bon, comme d’habitude je n’ai pas de téléphone... Je n’ai pas de raison d’en avoir non plus ! Donc tu va devoir te contenter de lettres ! Ah ! Faut que je et parle de ça… Bon SANG ! Donc, hier j’ai été à ma première journée de travail à l’école. Bah ouais, je suis maintenant … Professeur d’anglais. Je suis trop fort hein ? En tout cas, je m’égare ! Donc j’étais sur ma planche à roulettes à quelques rues à peine de BlueRocks quand j’ai passé à côté d’une gamine qui ne devait pas avoir plus de 14 ans, j’en suis certain. Pour traverser la rue, j’ai dut regarder en arrière de moi et la gamin me matait, mais vraiment pas discrètement. Le plus drôle, c’est qu’elle est dans l’un de mes groupes. Tu me connais, je vais être très gentil… En tout cas, j’ai un numéro à mon travail – je dois dire que sa me fait vraiment bizarre de dire ça !et que, je ne le connais pas encore ! – donc tu vas pouvoir m’y rejoindre. J’espère que sa se passe bien de ton côté, du mien… Parce que oui, il y a peut-être une quelqu’une… : D On verra. Salut Gerry, Chrissie et Julian pour moi. Ju et Frank pense venir te voir pendant les vacances de Noel, tu peux être certaine que je vais m’amener moi aussi ! À quand on va se revoir, t’adore Cowgirl. Kees. PS. Je suis encore le seul qui n’attend pas encore son troisième gamin ? Va falloir que je m’y mette ! »
Lettre envoyé à Angie Marshall par Alexander-Kees Sorenson.

Groupe :: Sportif, Avatar :: Emile Hirsch
Que voulez-vous dans votre Rang? King of the Road Code :: [Amor]

avertis quand c'est terminé Wink

Bienvenue mon cher =).

Parce que j,ai pas envie de me taper un 3e postes même si il me reste quelques idées XD
Je pense que j'ai pas mal finit Razz

Et merci à toute les bienvenue's ^^

Parfaiit pour moi Smile

Bienvenue et Accepté

Esta perfecto Smile

» Candice Sorenson